Tu cherches engager ou embaucher un tueur à gages? Les assassains ou tueurs a gage offrent généralement des services allant d'une bonne raclée, recouvrement de dettes, des menaces, des enlèvements, des disparitions, des enquêtes privées, de la protection privée, et bien sûr, les meurtres. Eux ils font tout ce que personne ne peut et ne veut faire. C'est pourquoi de nombreuses personnes cherchent des moyens d'embaucher un tueur à gages à ces fins.

PAYS OÙ ILS OPÈRENT

Les tueurs a gages se trouvent pratiquement partout dans le monde et les limites sont fixées par la capacité de paiement de la partie contractante. Eux ils ont des facilités pour obtenir des visas et des passeports où il est presque impossible d'empêcher l'entrée de ces personnages dans les principaux pays et villes du monde.

LISTE DES PAYS OÙ ILS SONT DISPONIBLES

• France

• Congo

• Canada (Québec)

• Cameroun

• Belgique

• Côte d’Ivoire

• Madagascar

• Haïti

• Sénégal

• Bénin

• Guinée

• Mali

• Niger

• Tchad

• Suisse

• République centrafricaine

• Gabon

• Burundi

• Rwanda

• Luxembourg

• Djibouti

• Guinée équatoriale

• Monaco

• Tunisie

• Maroc

QUI A D'HABITUDE BESOIN D'ENGAGER UN TUEUR A GAGES

Ceux qui embauchent ce genre de services sont généralement des gens très ordinaires, voire des gens très connus aussi. Certaines des personnalités les plus en vue qui ont récemment fait appel à ce genre de services sont : Hillary Clinton, Christine Lagarde, Nicolas Maduro, le pape Jean-Paul II, le Dalaï Lama, Enrique Iglesias, Céline Dion, Elon Musk.

Lorsque les gens nous contactent, ils sont parfois complètement désespérés et ont un besoin urgent de notre aide. Ils nous demandent avec empressement de faire leur sale boulot à leur place afin qu'ils n'aient pas d'ennuis avec la loi.

En général, ces gens veulent que quelqu'un fasse le sale boulot avec une personne très proche d'eux, comme :

- Femme ou mari (époux et épouse)

- Petit ami ou petite amie

- Frère et soeur

- Ami

- Collègue de travail ou boss

- Voisin

- Associé

OÙ UN TUEUR PEUT-IL ENTRER

Le tueur peut facilement entrer dans les maisons, les lieux de travail, les établissements d'enseignement et les espaces publics. Ils ont même un laissez-passer vert pour entrer dans les parcs publics, les magasins, les restaurants, les centres commerciaux et peuvent conduire leur véhicule dans n'importe quelle rue.

De plus, ils peuvent même entrer dans des installations de haute sécurité telles que les ambassades, les bureaux du gouvernement et même les résidences et bureaux présidentiels.

ENGAGER UN TUEUR À GAGES

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Tueur a gages #1 en Europe

Agence de tueur à gages en France (témoignage)

Nous sommes une famille de Paris en France et je vais vous expliquer pourquoi j'ai décidé d'engager un tueur à gage dans une agence de sicaires. Je travaille dans une banque comme directeur financier d'entreprise et ma femme travaille aussi comme analyste financière. Nous étions (ma femme et moi) tous les deux activistes et avons promu beaucoup de travail communautaire pour obtenir de meilleures conditions de sécurité et d'infrastructures dans le secteur Beaulieu-Gage, le quartier où nous avons vécu plusieurs années.

Ce travail bénévole et activiste nous a permis de nouer des liens avec de nombreux autres activistes et personnes ayant la même intention d'améliorer les conditions de vie de la communauté.

J'étais un compagnon activiste et ami de Fredy Dupuis, plus connu sous le nom de Fredy, une personne reconnue dans notre quartier pour être l'un des fondateurs du quartier Gamache et pour promouvoir une importante œuvre sociale au bénéfice de la communauté et de divers secteurs de Paris en France. De plus, Fredy était président de C.R.S. et au milieu de son travail, il avait été menacé par le problème des invasions dans ce secteur.

Début mars, Fredy et moi avons décidé de nous réunir près de l'endroit où elle travaillait, car nous travaillions ensemble avec la communauté. Nous voulions surtout avoir une stratégie pour approcher les autorités locales et exiger des solutions et exposer des stratégies concrètes pour que les conditions de sécurité s'améliorent dans différents points, zones et quartiers de la ville. Fredy m'a déjà fait part de son désaccord en raison du manque de soutien et a exprimé que les autorités n'avaient pas respecté une série de pétitions visant à améliorer les conditions de sécurité dans le quartier.

Puis le 22 mars 2019, à 14h00, nous nous sommes rencontrés et avons terminé à 16h15. Nous nous sommes dit au revoir et je suis monté dans la voiture d'un compagnon lorsque nous avons bientôt entendu une moto et plusieurs détonations.

Je me souviens que le compagnon et moi nous nous sommes regardés et avons soupçonné que quelque chose de mal s'était produit, puis nous sommes venus vers moi de l'intérieur de la voiture pour savoir ce qui se passait. À environ 50 mètres, j'ai pu voir le corps de Fredy dans le sol et sans bouger et en faire le commentaire à l'entreprise, puis nous avons essayé de le communiquer à une ambulance avant qu'ils n'assistent Fredy.

Quelques minutes plus tard, la police est arrivée sur les lieux et j'ai dû leur parler pour témoigner et expliquer ce qui s'était passé. Lorsque la police est arrivée sur les lieux, le corps de Fredy était sans défense et coulait beaucoup de sang. Ils ont commenté que nous étions tombés pour le voir à l'endroit où il avait un commerce et travaillait, mais dans ce cas, des hommes étaient près de lui sur une moto, ils ont pris une arme à feu et ont tiré à plusieurs reprises.

L'ambulance a rapidement constaté que Fredy n'avait pas de signes vitaux et a procédé à la reconnaissance de l'instance chargée de transférer les personnes décédées. Plus tard dans la journée et dans la nuit, le médecin légiste nous a informé que Fredy était mort à cause de deux balles qui ont atteint le côté droit de son crâne et en quelques secondes, il est décédé. Il n'a jamais réussi à se maîtriser et ces dommages l'ont causé de quelque façon que ce soit à la mort.

Les mois ont passé et les autorités ne nous ont jamais donné les résultats et ne sont jamais mortes avec les coupables. Nous sommes donc allés demander à plusieurs reprises et avons toujours décidé que nous enquêtions toujours. Nous savions que dans l'Iban, rien ne les arrêtait, la vie d'un leader social, rien n'en sortait.

En février 2020, j'ai décidé d'organiser une marche pacifique à Bordeaux pour arrêter les autorités qui ont résolu le cas de Fredy et faire face à la situation de violence et d'insécurité dans la ville. Ces jours-ci, je me suis consacré à placer des publicités sur Facebook et dans différents lieux publics et dans des organisations civiles. Il a fait valoir qu'il pourrait y avoir des liens entre les criminels qui ont tué Fredy et certains agents de sécurité, et a également accusé les autorités de n'avoir pas trouvé de preuves coupables dans le cas de Fredy.

Nous soupçonnions spécifiquement qu'un groupe criminel et armé appelé FRC22 était derrière le meurtre et avait l'autorité pour être complice qui n'avait jamais arrêté la personne de ce meurtre. J'ai toujours élevé la voix et j'ai toujours dit qu'ils avaient tué Fredy et qu'il m'avait dit les jours précédents qu'ils avaient été apaisés.

Ainsi, peu de temps après avoir annoncé la marche du 10 février sur Facebook, un individu m'a marqué et m'a averti qu'il arrêterait de diffamer les autorités et me réconforterait par ma mort si je suivais ces plans de marche. J'ai ensuite déposé plainte à la police, mais ils ne m'ont pas répondu correctement et m'ont dit que je n'étais pas bonne dans ce que je proposais avec la marche.

Selon eux, ils n'ont pas pu porter plainte car ils ne savaient pas d'où venaient les menaces, car la seule preuve dont ils disposaient était l'enregistrement (privé) du téléphone portable. La police m'a indiqué que cela ne suffisait pas pour enquêter sur la provenance des menaces. Comme nous n'avions pas de soutien, nous avons envisagé la possibilité de contacter et d'engager un tueur à gages en la France dans une agence de tueurs professionnels.

Au final, ils n'ont pas enquêté, mais sans garantir aucun résultat, la mer, au final, n'a pas réuni d'éléments pour formaliser une enquête sur le délit de harcèlement par téléphone. J'ai eu le sentiment que je n'avais perdu que du temps et que je n'avais reçu aucune aide.

En tant que citoyen responsable, portez plainte, mais l'autorité ne me soutient en aucune façon. Ils ont arrêté de parler, mais n'ont jamais fait de rapport. Le 20 février 2020, j'ai dû changer de ville et je suis allée à Barranquilla pour me rendre dans un département que je loue avec ma fille et mon mari et nous avons senti que nos vies étaient vraiment en danger.

Quelques semaines plus tard, j'ai reçu un vieux message via WhatsApp pour confirmer qu'il y avait des graffitis sur la porte de la maison et qu'il y avait des expressions écrites et des insultes et des menaces de mort contre ma famille et ma famille.

Pour les personnes qui étaient derrière eux, je m'étais échappée de Paris et je me retrouvais tard ou tôt le matin parce qu'ils étaient complètement amusés. Tout le monde m'a mis en alerte et m'a laissé penser à la possibilité de quitter le pays si les menaces s'aggravaient, car la seule chose qui m'inquiétait était qu'ils trouveraient cela dommageable pour ma fille.

Au travail, j'ai dû demander la permission de m'absenter pendant quelques semaines et à ce sujet, j'ai également pensé à démissionner si ces individus continuaient à me poursuivre. Ma fille lui a également suggéré d'abandonner son travail d'activiste pendant une saison et de ne pas s'exposer ou traîner seule dans la rue. Essayez de prendre toutes les précautions pour que nous ne subissions aucun type de perte ou de dommage qui mette nos vies en danger.

Le 5 avril, l'entreprise où je travaillais m'a contacté pour me présenter ma démission, après quoi j'ai reçu de nombreuses menaces par le biais d'appels anonymes qui sont parvenus directement à la banque et cela a été un mauvais élément pour l'entreprise.

Après que l'entreprise m'a demandé de démissionner, j'ai présenté une lettre de dénonciation et j'ai quitté mon travail. Il y a quinze jours, le 20 avril, j'ai de nouveau reçu un appel d'une autre personne de l'endroit où je vivais à New Delhi et m'a dit que certaines personnes demandaient où j'étais ou connaissaient des membres de ma famille car il était important de me localiser. Dans le passé, ils n'avaient jamais eu la moindre idée de l'endroit où ils pouvaient se trouver, mais l'un d'eux a été menacé et a promis de revenir jusqu'à ce qu'ils aient des informations sur les endroits possibles où ils pourraient se trouver.

Pendant ces jours, le vieil homme et sa famille ont dû quitter la région et se cacher pour ne pas s'exposer à ce que quiconque me porte atteinte à leur vie, ils ont perdu de vue le fait que les menaces pourraient se réaliser s'ils continuaient à vivre au même endroit.

Au fil du temps, j'ai constaté que la situation était désespérée et que je n'avais pas beaucoup d'options avant la peur qu'il m'arrive quelque chose à moi et à ma fille. On savait que plus tard, plus tôt pourrait nous trouver. Je n'avais donc pas d'autre recours a une agence de tueur à gage en France pour m'aider dans ma situation.